Edito intéressant de Jean-Claude Guillebaud - un intellectuel français, bon observateur de la vie culturelle, remarquable journaliste, pour lequel j'ai la plus grande révérence -, dans le "Nouvel Observateur" d'aujourd'hui. Il y remarque que toutes les grandes crises financières en Occident, tous les "krachs" boursiers en particulier, se sont toujours - toujours! - soldés par l'émergence, la prise de pouvoir et l'installation de dictatures. Dernier exemple en date : le nazisme, consécutif d'après lui à la crise de '29.
De quoi méditer, non?
Que voulons-nous, vraiment?
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