Certains me disent, après avoir lu le dernier message de mon blog : "Vous voilà bien sévère avec l'Institution." Ben oui, évidemment : pour rappel, les Cardinaux se préparent à désigner ce que l'on nomme parfois "le Magistère suprême de l'Eglise", qui, au nom de la loi naturelle, entend bien rappeler aux gouvernements en place la suprématie de l'éthique universelle sur les législations parlementaires.
Le moins que l'on puisse demander, à ceux qui vont élire comme à celui qui sera élu, c'est d'être eux-mêmes clean du point de vue de leur conscience morale, non? Ou alors, de renoncer...
Il y a des évidences qui, à force d'être comme le nez au milieu du visage, ne se remarquent plus.
Moi je veux bien faire confiance à l'Institution ecclésiastique, demander à mes ouailles de faire de même, vivre avec elle dans l'obéissance de la foi, etc., mais je souhaite que ce soit dans une certaine cohérence d'intelligence, de doctrine, de morale et, finalement, de bon sens. Il est grand temps.
Ok?
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