Hier, aujourd'hui : remise de diplômes dans une école fondamentale (l'Ecole Saint-Nicolas) ou au Collège Saint-Augustin d'Enghien.
En marge, des nouvelles des miens (neveu, nièce) qui traversent des épreuves universitaires analogues.
Demain, délibérations à Louvain-La-Neuve tout l'après-midi (et qui sait? au-delà) pour les épreuves de la Faculté de Théologie.
Chaque fois, des constats : échec ou réussite.
La question - comme dans nos vies, du reste, et l'enseignement, c'est une part de nos vies - n'est pas : se lamenter/se réjouir. La question est : que faire soit de l'échec, soit de la réussite?
L'échec (on a tendance à l'oublier), c'est fait pour être traversé : on regarde pourquoi il a eu lieu, on recommence autrement, on repart.
La réussite; c'est aussi fait pour être traversé : on apprécie le travail fourni, on ne s'endort pas sur ses lauriers, on se demande comment poursuivre.
Dans les deux cas, des "challenge's", comme on dit en franglais.
Dans les deux cas, des étapes, pas des conclusions.
La vie est un mouvement perpétuel, un parcours par essais et erreurs. On apprend de ses échecs au moins autant (plus?) que de ses succès...
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