mardi 22 avril 2025

Adieu, François


 Ainsi donc, le pape est mort, après avoir le jour de Pâques offert "urbi et orbi" ("à la ville - de Rome, dont il est l'évêque - et au monde") sa dernière bénédiction.

Bien des commentaires sont faits, partout, sur tous les supports médiatiques, et ils sont souvent pertinents. On salue un homme qui a de façon déterminée plaidé pour la paix, pour le respect de la "maison commune", pour la dignité des personnes fragiles et pauvres comme les migrants, pour le respect de toute vie humaine - même celle qui est encore en gestation . On déplore sa frilosité pour un certain nombre de réformes dans l'Eglise (plus de place eux femmes, aux couples dits "irréguliers", etc.), on déplore aussi sa fermeté sur des questions sociétales comme l'avortement ou l'euthanasie. 

En tous les cas, il aura été un homme libre. Ses douze années de pontificat ont bousculé la vieille Eglise Catholique. Et, parmi la poignée de dirigeants du monde qui "comptent", j'aime à penser qu'il aura été le plus relevant, au milieu des Trump, Erdogan, Poutine et compagnie.

J'ai rencontré cet homme à plusieurs reprises, séduit par sa générosité, son empathie, son humour. Je ne doute pas qu'il continue à prier pour l'Eglise qu'il a servie, et... pour son successeur!

3 commentaires:

  1. Après le pape Jean Paul II, Ratzinger et Vous cher pape François que je ne peux me empêcher de remercier pour vos Intelligences, j attend le bonheur parfait.

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  2. Autoritaire rancunier sectaire il a protégé des abuseurs sexuels comme le jesuite Marko Rupnik ou l évêque argentin Gustavo Oscar zanchetta. Il a intimité le cardinal Burke. Surtout il raconté des hérésies et écrit des textes contraire a l enseignement constant de l Église. Fiducia supplicans.

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